Le Mouvement panafricain Ekolo, a organisé une conférence-débat ce samedi 01 juillet 2023, à l’hôtel Sultani River. Un moment d’échange sur l’indépendance économique de la République Démocratique du Congo et le panafricanisme, composé de deux panels prenant par les analystes économiques, les détenteurs des capitaux, les militants pour l’indépendance et les acteurs politique.
Pour le premier panel, le Docteur Sondji a essayé de décrire le système économique avant l’indépendance. Selon lui ” le système économique que le Congo a eu avant l’indépendance était aux mains des belges, une semence qui n’a pas changé jusqu’à nos jours car notre économie est toujours gérée par les étrangers ” a-t-il raconté.
Le propriétaire de Legacy Talk, Al Kitenge a fait savoir que « le pays n’a pas une économie nationale, suite aux tracés routiers qui sont que pour les exportations des matières premières, qui provoque une économie anonyme d’où le prix d’un produit congolais vari dans chaque territoire ».
À cet sujet, pour Souzane Koto, qui évolue dans l’agro industrie. Elle a remis la cause aux congolais qui laissent la tâche des marchés des meubles, des constructions aux expatriés, et aussi congolais qui desenvisagent les produits au créatif congolais.
Au deuxième panel de cette conférence, madame Mood et l’activiste des droits des femmes Lyda, ont accentuées sur le panafricanisme, en incluant la guerre dans l’est de la RDC.
Madame Mood, qui est de la corporation du Docteur Denis Mukwege, le prix Nobel de la paix. Elle a paraphrasé sur l’unité dans l’Afrique subsaharienne pour soutenir la RDC qui a des solutions par ses matières.
Quant à madame Lyda de l’association Goma actif, elle a raconté des viols que subissent les femmes dans le Camp de réfugiés, aussi de la conséquence économique qui cette zone vit, d’où depuis et toujours cette partie du pays vit de produits venus du Rwanda.
Cette activité riche en couleurs, englobant divers domaines, a mis d’accord toute l’assistance d’une trentaine de personnes, durant cinq heures du temps. La structure Ekolo a cette fois-ci emboîté pas en organisant pour la première fois une conférence, c’est ce qu’a souligné Katia Adili, l’une des membres du Collectif qui compte déjà deux ans d’existence d’après ses dires.
David Ekutshu