Le Chef de transition burkinabè Ibrahim Traoré affirme d’avoir reçu les coups des fils des certains présidents occidentaux à la pause, durant une réunion stratégique convoquée par le président Vladimir Poutine, vendredi dernier à l’importance d’un tissage des fortes diplomaties entre l’Afrique et la Russie.
Un pays sous multiples attaques terroristes depuis 2015 qui provoquent des déplacements de la population alors qu’il comptait moins de 50000 personnes déplacées internes en date du janvier 2019, le pays en recensait plus de 1,8 million à la date du 31 décembre 2022.
Actif depuis vendredi 30 septembre 2022 par coup d’État en tant que Chef de transition, Ibrahim Traoré qui a 35 ans d’âge et lui qui a remplacé le lieutenant-colonel Paul-henri Sandaogo, affirme recevoir les appels de certains chefs d’États lui influencants à l’égard de la Russie, ils accusent la russe d’être une facilitatrice des mouvements terroristes en Burkina Faso.
Les médias européens pro-occidentaux
Toujours dans cette même allure, le capitaine burkinabè a parlé du travail profiteur de médias occidentaux vis à vis de l’audition et l’opinion publique à l’échelle internationale en appuyant l’hypothèse d’une soutenance propre de la Russie en vu de ce qui se passe dans son pays
Malgré les multiples interactions téléphoniques, le président burkinabè reste vif à l’idée d’une Russie communiste dans cette nouvelle entente diplomatique et politique. Il a essayé d’assumer ces propos en rappelant le rôle qu’avait joué la Russie en profit de l’indépendance de son pays et de toute l’Afrique.
Une rencontre mal vue à l’Europe, qui est effrayée d’un dénouement de relations diplomatiques une fois Vladimir Poutine arrive à un accord payant avec les présidents africains
Obed Amani.