Dans sa casquette de “Pays solution”, la RDC participe au Sommet du Bassin de l’Amazonie, au Brésil, du 8 au 9 août 2023. Une légion des journaux parus à Kinshasa ce mercredi 09 août 2023, commentent ce sommet.
En faveur du développement durable de la région, ce sommet est une initiative visant à favoriser la coopération entre les pays amazoniens et d’autres partenaires. En effet, ce sommet de
Belém est un tournant dans la lutte contre le réchauffement climatique. Cette journée inaugurale a
été consacrée aux discussions internes entre pays amazoniens.
Ce mercredi 9 août, les invités et autres partenaires partagent la préoccupation de la
sauvegarde des trois grands bassins forestiers de la planète.
De ce fait, la RDC à travers son concept “pays solution” a lancé trois messages cés. En premier lieu elle est consciente de son leadership climatique naturel. Ensuite, du rôle qu’il doit jouer pour la transition écologique et la stabilisation du climat de la planète. Ainsi, elle a décidé d’améliorer progressivement la gouvernance de son patrimoine naturel.
C’est sous une chaleur tropicale de la petite ville nordique de Belém que
les dirigeants des 8 pays sud-américains partagent le plus grand bassin forestier u monde, rapporte La Prospérité.
Ils se réunissent au tour du président brésilien lula da Silva. Ce dernier dont le pays
abrite 60% de la forêt amazonienne, est entouré à Belem de ses homologues de la Bolivie, de la
Colombie et du Pérou. Tandis que l’Equateur, le Guyana et le Suriname y sont représentés par deministres.
D’après Econews, ce sommet a débuté ce mardi au Brésil avec des enjeux qui transcendent la région. Ledit sommet a eu lieu, dans l’espoir de trouver des solutions concrètes contre le réchauffement climatique. Avec près de la moitié du bassin forestier du Congo, la RDC prend part à ce sommet. Au plus haut niveau, le Président Félix-Antoine Tshisekedi fut invité spécialement par le président brésilien. Le but est de s’imprégner du modèle régional de l’Amazonie pour le repiquer dans les pays du bassin du Congo.
À travers ce sommet, AfricaNews, renchérit par la participation de
la RD-Congo qui offre plusieurs opportunités notamment : « informer sur les efforts en cours visant à améliorer la gouvernance des ressources naturelles entrepris par différents acteurs dans le but d’attirer des partenariats, apprendre et recueillir des recommandations pour améliorer la gouvernance des ressources naturelles en RDCongo et dans le Bassin du
Congo».
L’avenir, quant à lui, ajoute que, la RDC, le Brésil et l’Indonésie, les signataires de la convention-cadre
de l’ONU en 2022, qui veulent coaliser leurs efforts pour la sauvegarde et la préservation de
leurs ressources forestières. Au moment où la crise climatique est un problème mondial,
les 3 pays-solutions sont qualifiés de G3 climatiques. Ils ont décidé de coaliser leurs efforts en vue de parler d’une même voix et de développer un agenda commun pour la sauvegarde et la préservation de leurs ressources forestières.
Congo Nouveau, boucle avec des pressions pour diviser catholiques et protestants
Pour solliciter l’audit du fichier électoral, la semaine dernière, les responsables des
églises catholique et protestante de la RDC avaient déposé un mémorandum auprès de la CENI. Le mariage entre les deux églises est né après qu’elles aient été mises en minorité par les autres confessions religieuses. Coalisées les deux confessions religieuses présentent une force qui devrait inquiéter le pouvoir en place. Mais, pour affaiblir cette coalition, il revient d’apprendre
que des pressions sont faites sur certains cadres de l’Église du Christ au Congo
(ECC). Ceci pour que Bakondoa, le numéro un de l’église protestante en RDC, soit
défenestré lors du prochain Synode.
Charlotte Mukanga