Vu le taux élevé de la présence des personnes hostiles et la détérioration de l’insécurité dans plusieurs quartiers de la ville touristique de Goma, la 34 ème région militaire avait créé des comités au sein des quartiers afin d’identifier correctement cette présence hostile des infiltrés.
Cependant, la société civile a appelé à la levée de la mesure portant implication des chefs de quartiers dans l’identification et le traque des armes en possession des militaires et policiers.
Pour Mario Ngavho, cette disposition de la 34ème région militaire porte à confusion. Il estime que le travail de recensement des armes incombe à la logistique de l’armée.
Pour rappel, plusieurs quartiers de la ville de Goma sont victimes de l’insécurité grandissante, les civiles détiennent illégalement d’armes à feu, chose qui a donné naissance à la création de cette mesure impliquant la participation citoyenne à sa sécurité.
Gracieux BAZEGE