Alors qu’il était Maître de cérémonie lors de la clôture des 9 èmes Jeux de la Francophonie, le mythique journaliste Jessy Kabasele a subi des tortures sur les réseaux sociaux pour avoir demandé au public d’ovationer la première dame, Denise Nyakeru Tshisekedi. Pourtant, il avait bien justifié sa demande d’une ovation de l’épouse du Chef de l’État pour l’organisation par elle, de la première journée nationale d’hommages aux victimes des violences sexuelles liées aux conflits et autres crimes graves (Genocost), célébrée en grande pompe le 2 août.

Aux côtés de Madame Marilyne Kankonde, Jessy Kabasele a fait une prestation de haute classe comme maître de cérémonie lors de la clôture des 9 èmes Jeux de la Francophonie au stade des Martyrs de la Pentecôte. Le célèbre journaliste de la Radio télévision nationale congolaise (RTNC) qui a gagné le respect et l’admiration du public notamment avec la présentation de la tranche d’animation « Le Panier » a bien assuré.

Bien que sa prestation ait été appréciée par de bons esprits, des personnes mal intentionnées lui ont souhaité le pire. Ils l’ont traité des tous les noms.

Du début à la fin, Jessy Kabasele a joué parfaitement son rôle en présentant les différentes étapes de cette cérémonie suivie en direct par des millions de téléspectateurs à travers le monde francophone.

Cette prestation précieuse a été, malheureusement, condamnée par les tribunaux des réseaux sociaux et leurs magistrats virtuels qui, sur base des connaissances en communication enseignées dans aucune école de journalisme ou de communication, crient à une faute professionnelle.

De leur point de vue, il est interdit à un maître de cérémonie de faire preuve de patriotisme, en saluant l’initiative combien louable d’une compatriote, première dame soit-elle.

Pourtant, tous les intervenants, à différents niveaux avant et après les 9 èmes Jeux de la Francophonie, ont jeté des fleurs au chef de l’État, Félix Tshisekedi, qui a sauvé de la meilleure des manières ces jeux dont ne voulait aucun autre pays après le désistement du Nouveau-Brunswick.

Malgré tous ces messages malveillants, Jessy Kabasele est resté professionnel tout en restant silencieux.