À Kinshasa, la chaussée « route mokali », dans la commune urbaine de Kimbanseke, s’est dégradée depuis de semaines dans plusieurs de ses arrêts de bus et parties. Moins loin du début du trafic routier (au Pont), jusqu’à son terminus (arrêt Pascal) amenant vers le boulevard Lumumba. Un grand tourment pour les usagers de cette route qui sont obligés de prendre soit deux fois les tricycles qui sont en activité dans ce coin, suivi des embouteillages, ou une moto dont le prix ne semble pas être favorable faute en raison de l’impraticabilité de ladite route.
Cette route qui peut compter des kilomètres du début de goudron au Pont jusqu’à l’arrêt Pascal, est presque détériorée. Ses caniveaux sont d’une part bouchés, d’autre part inexistants. En l’entrée de Pascal, ce sont les couches de boues qui remplacent le macadam, quelques kilomètres après, c’est l’enfer où certains conducteurs des taxis se décident de ne pas affranchir, vu l’image de la route dont la survenue des nappes d’eau inquiètent même les piétons. De même sur l’arrêt Ferbois, qui voit ce jours la dégradation de cette zone, également sur les avenues de Make à Nsundi et Kipakasa, sauf qu’à l’arrêt Mabanza, c’est l’eau de la pluie qui bloque une partie de la route, mais les caniveaux restent bouchés.
La route Mokali est cependant malaisée en pleine saison de pluie dans la capitale de la République démocratique du Congo (RDC). L’état de cette voie dans le district le plus peuplé de la Tshangu, met à mal non seulement la population, mais également les conducteurs taxis de différents enjeux, qui font face à un itinéraire délabré sans merci aux pièces des motos, et véhicules au service de transport quasiment chaque jour.