C’est lors du 2ème Congrès des écrivains congolais qui s’est déroulé ce samedi 23 mars, à la Bibliothèque Wallonie Bruxelles, de Kinshasa que ce forum du corps littéraire a centré à l’Union des écrivains du Congo (UECO), dirigé depuis des années par le professeur Buabua Wa Kayembe, comme la nouvelle plateforme qui va désormais contrôler toutes les structures sectorielles de la République démocratique du Congo.
Une décision venue après, les échanges, débats, idées, orientations et suggestions parmi les écrivains, agents des lettres, lecteurs, éditeurs, poètes et romancier pour chercher comme dit Richard Ali, le président des écrivains du Congo “l’unité et l’ordre” au sein du collectif des écrivains congolais.
Le 2ème Congrès que les organisateurs appellent “d’historique” déroulé autour notamment du thème ” Écrire en temps de cerise : La littérature congolaise et son impact sociétale”, un thème que les écrivains congolais ont échangé pour trouver leur apport à la crise socio-sécuritaire des congolais.
« En temps d’une crise, un écrivain s’en serve de sa plume pour apporter les gens dans la lecture », la réponse retenue par le président Richard Ali.
Cet instant a martelé également autour des divisions, de solitude et désaccords qui régnaient parmi les écrivains. L’initiateur de l’évènement Richard Ali a plaidé d’un travail d’ensemble pour évaluer en équipe quoi écrire et quoi penser. Ce moment a été intercepté classiquement par une scène théâtrale de 3 artistes qui dans la citation de chacun, l’unité, la force du travail collaborateur étaient plaidés.
Par ailleurs, au nom des toutes les structures, entre autres; Les écrivains du Congo, Femmes des littératures congolaises (FELCO), Association des jeunes écrivains du Congo (AJCO), Bookutani, Les plumes conscientes, la littérature éleve une nation et Union des écrivains du Congo, les écrivains présents à l’activité, ont condamné les actes barbarent perpétrés dans l’est de la RDC.
David Ekutshu