Le Président de la République Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo a accordé une interview à la chaîne américaine de Fox news ce 19 mars 2025. Au cours de cette interview plusieurs sujets ont été abordés entre autre l’agression rwandaise, le deal entre la RDC et les États-Unis.
Journaliste : Que devriez-vous arriver pour aller de l’avant avec cela ?
Félix Tshisekedi : « Relation, nous voulons extraire ces minéraux mais aussi les traiter car cela créerait beaucoup d’emplois. Et nous voulons un partenariat qui fournira une paix et une stabilité durables pour nos pays, dont nous avons besoin. C’est un endroit dangereux, le Congo. Nous pouvons construire nos capacités de défense et de sécurité. Et je pense que les États-Unis Est en mesure d’utiliser soit la pression, soit les sanctions pour s’assurer que les groupes armés qui sont en RDC peuvent être conservés à distance.
Journaliste : M. Le président, les États-Unis, se sont préoccupés de l’influence de la Chine en Afrique, en particulier en RDC. Comment géreriez-vous cette relation avec Pékin tout en maintenant des liens avec les États-Unis que vous voulez évidemment développer ?
Félix Tshisekedi : « La nature abhorre un vide, comme le dit le dicton. Ce n’est pas cette Chine …se cire en Afrique. C’est plus que l’amérique se branle en afrique et nous serions très heureux d’avoir nos amis américains ici qui étaient plus présents que la Chine dans les années 70 et 80. »
Journaliste : Comment pensez-vous qu’un accord de minéraux, s’il s’agit de fruits, bénéficierait aux américains?
Félix Tshisekedi : « Les entreprises de la Silicon Valley savent exactement ce que je veux dire. Et donc je pense que ce partenariat aidera ces industries à développer de plus en plus de produits innovants. »
Journaliste : Je veux que vous vous adressez, si vous le pouviez, et que vous parliez des combats dans l’est de la RDC et comment comptez-vous le résoudre ?
Félix Tshisekedi : « La RDC a un pays voisin appelé Rwanda, qui il y a environ 30 ans a connu un génocide. La communauté internationale à l’époque nous a demandé d’ouvrir nos frontières POUR recevoir des bœufs de réfugiés qui fuyaient les combats et les massacres. Et depuis, malheureusement, cette situation infernale qui était au Rwanda à l’époque s’est infiltrée en République démocratique du Congo. C’est pourquoi nous insistons pour avoir des sanctions. »
CLE

