Le CSAC, l’autorité de régulation, suspend sans translucide Louis France Kuzikesa, journaliste et D.G de Cml13, qui selon lui, ce dernier a violé l’article 5 du code déontologie et éthique du journaliste congolais, qui stipule : « Bannir l’injure, la diffamation, la médisance, la calomnie, les accusations sans preuves, l’altération des documents, la déformation des faits, le mensonge, l’incitation à la haine (religieuse, ethnique, tribale, régionale ou raciale. Ainsi que l’apologie de toute valeur négative dans la pratique quotidienne de son métier.

Lors de l’émission télévisée en direct sur Cml13, dimanche 21 mai 2023, les deux invités députés, Daniel Safu et Mike Mukebayi ont tenu des propos en caractère tribal, et le journaliste ne les a pas ordonné de retirer ses propos. Son silence sur le plateau pendant ce moment lui rend automatiquement complice.

Comme dans toute entreprise règne l’hiérarchisation, de même dans le monde de médias : Il y a l’autorité de réglementation : le ministre de communication et médias; L’autorité de régulation : CSAC ;
L’autorité d’autorégulation : OMEC et UNPC

Quand un journaliste viole un article de l’éthique et déontologie du journaliste, celui-ci peut répondre devant les autorités ci-dessus.

Pour le cas du journaliste et présentateur de l’émission “libre opinion”, Louis France Kuzikesa, puisse qu’il a violé l’article 5 du code de déontologie et éthique du journaliste congolais décrit ci-haut, CSAC comme autorité de régulation devrait seulement suspendre l’émission “libre opinion” et non suspendre le journaliste d’exercer son métier et couper le signal de la chaîne. Ce document fait comprendre que les animateurs de CSAC n’ont pas la maîtrise de leur rôle et compétence.

Le CSAC devrait plutôt laissé à l’UNPC de convoquer le journaliste au niveau de sa commission disciplinaire pour l’entendre et si possible, lui sanctionner.

rédaction