La division provinciale des affaires sociales de la Tshopo fait, actuellement, face à une situation d’insécurité sans précédent et qui doit éveiller la conscience de tous les Tshopolais.
Après le vol spectaculaire d’un coffre fort contenant une importante somme d’argent destinés aux frais de fonctionnement et paiement des éducateurs non payer perpétré au centre de promotion sociale de kabondo, c’est le tour des bureaux administratifs de la division et de l’inspection provinciale aux affaires sociales d’être visiter par les réseau mafieux déterminer à déstabiliser le bon déroulement de travail dans cette division qui s’occupe de plus démunis.
En l’espace seulement de 48 heures, plusieurs actes de vol et vandalisme ont été orchestrés jeudi 01 juin par ces hors la loi.
Ces délinquants entrent par force dans les sales opérations, ils cassent toutes les portes et vol les documents importants et d’autres déchirés.
Suite à cette situation sécuritaire, l’inspecteur provincial aux affaires sociales Théophile Batolome Lipaso a alerté les services de sécurité à mener des enquêtes sérieuses pour dénicher tous ses ennemis de la paix et invite les autorités à sécuriser et protéger les biens publics de l’État qui commencent à être vandaliser par des hommes sans cœurs ni loi
A en croire l’inspecteur provincial aux affaires sociales Théophile, cette situation sécuritaire serait occasionnée par un réseau de trafiquants d’enfants dans la Tshopo.
« Cette situation ne doit pas handicapés le bon déroulement de travail qui remonte le moral des agents et cadres de la division et inspection provinciale aux affaires sociales car les autorités compétentes et services des sécurités sont saisis », a indiqué Batolome Lipaso.
Selon les dernières nouvelles de cette situation, les services de renseignement viennent de mettre la main sur quelques suspects qui sont passés aux aveux et ont avoués l’endroit où se trouve le coffre fort voler et enterrer à la cour même du centre en présence des élèves et autres curieux.
Thierry Mulamba kalume depuis Kisangani.