You are currently viewing RDC: Le panafricaniste Kemi Seba élevé au rang de Honoris Causa en sciences politiques    l’Université Bel Campus de Kinshasa, a officiellement élevé Kemi Seba au rang de docteur Honoris Causa en sciences politiques. Pour son œuvre politique panafricaniste et son impact idéologique sur les peuples d’Afrique et de la diaspora durant ces 26 dernières années.    Tout a eu lieu au cours d’une brève cérémonie organisée le mardi 15 Avril dernier, par cet Alma mater pour honorer ce digne fils d’Afrique. Alors que les ennemis de la souveraineté africaine avait tout mis en place pour empêcher que celle-ci ait lieu.   Mais, c’était sans compter sur l’abnégation du corps académique de Bel Campus, des étudiants souverainistes, et de quelques panafricanistes intransigeants au sein du gouvernement congolais, qui ont refusé, que quelconque pression ne puisse empêcher l’élévation de Kemi Seba au rang de docteur Honoris Causa.  Ce doctorat honoris causa, plus qu’une distinction de l’Homme, vient célébrer le combat de l’autodétermination africaine au 21ème siècle.  Comme Muhammad Ali a eu un doctorat honoris causa pour son impact historique dans le sport et pour la justice sociale, Denzel Washington pour son impact dans le cinéma ou Nelson Mandela pour son combat contre l’appartheid, Kemi Seba a su impacté toute une génération pour sa lutte  du panafricanisme au 21ème siècle.    John Buana

RDC: Le panafricaniste Kemi Seba élevé au rang de Honoris Causa en sciences politiques l’Université Bel Campus de Kinshasa, a officiellement élevé Kemi Seba au rang de docteur Honoris Causa en sciences politiques. Pour son œuvre politique panafricaniste et son impact idéologique sur les peuples d’Afrique et de la diaspora durant ces 26 dernières années. Tout a eu lieu au cours d’une brève cérémonie organisée le mardi 15 Avril dernier, par cet Alma mater pour honorer ce digne fils d’Afrique. Alors que les ennemis de la souveraineté africaine avait tout mis en place pour empêcher que celle-ci ait lieu. Mais, c’était sans compter sur l’abnégation du corps académique de Bel Campus, des étudiants souverainistes, et de quelques panafricanistes intransigeants au sein du gouvernement congolais, qui ont refusé, que quelconque pression ne puisse empêcher l’élévation de Kemi Seba au rang de docteur Honoris Causa. Ce doctorat honoris causa, plus qu’une distinction de l’Homme, vient célébrer le combat de l’autodétermination africaine au 21ème siècle. Comme Muhammad Ali a eu un doctorat honoris causa pour son impact historique dans le sport et pour la justice sociale, Denzel Washington pour son impact dans le cinéma ou Nelson Mandela pour son combat contre l’appartheid, Kemi Seba a su impacté toute une génération pour sa lutte du panafricanisme au 21ème siècle. John Buana

 

l’Université Bel Campus de Kinshasa, a officiellement élevé Kemi Seba au rang de docteur Honoris Causa en sciences politiques. Pour son œuvre politique panafricaniste et son impact idéologique sur les peuples d’Afrique et de la diaspora durant ces 26 dernières années.

 

Tout a eu lieu au cours d’une brève cérémonie organisée le mardi 15 Avril dernier, par cet Alma mater pour honorer ce digne fils d’Afrique. Alors que les ennemis de la souveraineté africaine avait tout mis en place pour empêcher que celle-ci ait lieu.

 

Mais, c’était sans compter sur l’abnégation du corps académique de Bel Campus, des étudiants souverainistes, et de quelques panafricanistes intransigeants au sein du gouvernement congolais, qui ont refusé, que quelconque pression ne puisse empêcher l’élévation de Kemi Seba au rang de docteur Honoris Causa.

 

Ce doctorat honoris causa, plus qu’une distinction de l’Homme, vient célébrer le combat de l’autodétermination africaine au 21ème siècle.

 

Comme Muhammad Ali a eu un doctorat honoris causa pour son impact historique dans le sport et pour la justice sociale, Denzel Washington pour son impact dans le cinéma ou Nelson Mandela pour son combat contre l’appartheid, Kemi Seba a su impacté toute une génération pour sa lutte du panafricanisme au 21ème siècle.

 

 

John Buana