Le morceau parle des dérapages verbaux qui gangrènent les classes politique en République démocratique du Congo, devenant de plus en plus une propension homogène des politiciens dans leur vision et stratégie, avec l’universalité de manière d’être et d’agir des congolais dans la société, qualifiés parfois; abusifs, malhonnêtes, déloyales, calomniateurs aussi porteurs de propos diffamatoire.
« Wenge eza politik, politik eza wenge »
Wenge est un groupe musical congolais emblématique, connu pour son influence majeure dans la musique congolaise, notamment dans le style ndombolo. Fondé en 1981 par des amis d’enfance, Wenge Musica a évolué et s’est scindé en deux groupes importants : Wenge BCBG et Wenge Musica Maison Mère, qui ont fait vivre la musique, la rivalité, le conflit, la bleusaille, la moquerie également le dénigrement de fois avec le geste et terme identique de dénégation au sein de ces écoles, comme « 12 » relatif à une posture de supériorité, boude. Des faits révolus dans le temps et répandus dans la société congolaise.
Cette chanson de l’artiste congolais, Alesh en collaboration avec son compatriote Zozo Machine, associe dans les textes musicaux les esprits environnants du cercle Wenge et la mode des marches des acteurs politiques de la République démocratique du Congo, depuis la quatrième République, appliquant systématiquement la démagogie auprès du peuple, dans une approche républicaine, pacificatrice et démocrate en perspective de prendre le mandat ou durant celui-ci, peu importe la politique est dynamique.
Une collaboration fulgurante au thème
Déjà le deux personnages dans le titre « Wenge politik », ont stagné leur majeur composition des chansons par les faits sociopolitique dès l’entame de carrière professionnelle de chacun. Le rappeur Alesh touchait le grand public avec ses tubes qui dénoncent la mauvaise gouvernance, l’incompétence des dirigeants en exercice, l’abus du pouvoir… Cet artiste de 40 ans pointe également la population d’être l’auteur de son marasme par le mauvais usage des réalisations de l’État à sa disposition.
De même avec Zozo Machine, issu du groupe Musique populaire de la révolution (MPR), un mouvement musical hip-hop très captif dans ses textes qui parlent du chômage, le coût de la vie, du népotisme des autorités congolaises ainsi que la mauvaise gestion des gouvernants en RDC. Le deux rappeurs engagés ont chanté aussi dans le son » wenge politik « , la complaisance qui règne au sein des formations politique, l’inconscience de certains militants.