Après plusieurs réactions des acteurs politiques congolais sur l’assassinat de l’ex ministre des transports, Chérubin Okende jeudi 13 juillet à Kinshasa, les grandes personnalités des États extérieurs n’ont pas aussi resté indifférent quant à cette annonce inattendue.
Il s’agit de Herman Cohen, ancien secrétaire d’État américain assistant aux Affaires africaines qui a parlé du début de la fin de la démocratie.
« l’assassinat du leader politique de l’opposition Cherubin Okende marque le début de la fin de la démocratie congolaise à l’état embryonnaire, un revers majeur pour les efforts de l’Afrique pour libéraliser l’environnement sociopolitique », a-t-il dénoncé dans un tweet.
Les enquêtes annoncées par le gouvernement congolais pour identifier les auteurs de ce meurtre sont toujours en cours.
Rédaction